Ah ma patrie,
Dont je me suis épris,
Quelle simple banalité,
Viens-je d’énoncer?
Une patrie, un pays, mon abri,
Son nom est un cri,
Que l’on répète sans s’essouffler,
Un baptême sans cesse à renouveler,
Un espoir idéal que l’on prie,
J’en oublie le moi et le prix,
D’une pensée à une contrée,
Rejoindre le fleuve de notre identité.
Arthur Billette
Liberté, congé et bantidisme
Il y a 9 ans
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