dimanche 11 mai 2008

Introduction tardive et présence verticale


Pardon, oui mille fois pardon pour le manque d'explication, lors de mon dernier article, a propos du but de ces chroniques Albertaines. J'étais tellement excite et je devrais aussi dire un tantinet fatigue, que je n'ai même pas pense à expliquer le but de ces chroniques. Vous pourrez toujours me répondre que d'avoir un but précis n'est pas nécessairement essentiel mais bon, disons que ca permet de faire la différence entre un amas de mots et pensées éparses et de l'autre, une évolution de la pensée humaine. Précisons que ces chroniques essaieront de viser le deuxième objectif mais qu'il est tout à fait réaliste (et probable) de penser qu'elles traineront plutôt dans les eaux des pensées éparses... Donc ce but: mieux comprendre la réalité albertaine (au travers de sa capitale) et ainsi voir ce qui peut nous rapprocher ou nous diviser, comme Nord-Américains. Je me permettrai donc quelques commentaires sur la réalité de la vie des gens de cette province, parfois cela se limitera aussi a quelques faits divers, le but final étant d'effectuer une certaine réfection... Qui est évidemment encore inconnue pour le moment. Espérons, de un, que tout cet exercice ne s'arrêtera pas a quelques stéréotypes et de deux, que ca vous intéressera un peu.

Donc, une fois cette introduction tardive faite, passons maintenant au sujet de la chronique journalière: j'ai finalement réussi à trouver du vertical a Edmonton. Ce n’est pas comme si c'était si difficile a trouver mais disons simplement que j'étais du mauvais cote de la rivière la dernière fois que j'ai nourrie cette chronique. J'étais alors tout proche du campus universitaire et mes découvertes s'étaient encore limitées a la "White Avenue" (l'équivalant de la Grande Allée ou Crescent made in Edmonton). Le problème avec la "White Avenue"

Oui, si la dernière fois j'ai cru bon de passer quelques commentaires, j'ai depuis pu commencer à gouter au vertical d'Edmonton et j'oserais dire, a plus d'un niveau.

Premièrement l'architecture: la ou la "White avenue" était d'un plat reboutant (certain la comparant a Brossard), le reste de la ville n'est pas nécessairement semblable. J'y ai trouve un centre-ville très développé et tout en hauteur mais aussi des bâtiments (tel un centre d'achat) a la forme d'un bizarre (positif) exceptionnel (on aurait cru des minarets ou encore des clochers d'église). Difficile de comprendre, d'un cote le cote quadrillé de la ville (a l'Américaine) et de l'autre une certaine permissibilite au niveau de l'architecture... Le parlement est aussi un bon exemple de bâtiment classique bien réussi.

La cote naturelle n'est pas non plus nécessairement un succès, la ville écrasant un peu tout. Cependant, il y reste encore beaucoup d'arbres et tout le pourtour de la rivière est bien conserve. Comme c'est l'habitude anglaise, on y trouve aussi une bonne quantité de parcs, donc un tres charmant (Howrlak... Horlak... Sais pas trop). Ils ont réussi à conserver des espaces naturels, a même la ville, qui sont suffisamment trompe l'œil pour nous faire oublier la présence de la métropole.
En gros, ca en fait une ville plus intéressante qu’il n’y semblait au premier regard.

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