samedi 10 mai 2008

Aberta Anno Zero


Voici le tout debut de mes chroniques Albertaines et evidemment, j'en ai bien peu a dire sur le sujet pour le moment (n'etant point encore initie a ce nouvel environnement). Mon seul commentaire sera donc: le vide. N'allez pas vous imaginer qu'Edmonton est vide mais simplement qu'apres mon premier tour en ville (donc un point de vue tres superficiel) rien ne me reste vraiment comme sensation. Pas d'ame qui frappe ou qui accroche comme cela peut etre le cas dans certaines autres villes. Des la premiere journee a Barcelone on ressent quelque chose, une vie puissante et presente. Meme chose pour des ville comme Paris, Venise, Montreal, Boston, etc. Elles laissent immediatement une impression, chacunes a leur maniere, mais ca n'est pas vraiment le cas d'Edmonton. Juste une certaine impression de neutralite, couplee a une topographie reellement plate et une urbanisation rectiligne dans son horizontalite. Voici donc ma premiere impression mais j'espere bien pouvoir bientot vous en dire plus sur mon nouveau milieu de vie.

Finalement, je me dois de preciser que si je fais un clin d'œil (dans le titre) au film de Roberto Rossellini, n'allez pas vous imaginer que ca se veuille réellement un parallèle. Enfin, disons un maigre parallele mais surtout un petit sourire a un prejuge qui sera bientot, je l'espere, dementi.

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