Me réveillant, un regard sur ce qui m’entour et ses dessous,
Était-ce un rêve d’aise pour un peuple épris de fadaise,
Le pire d’entre eux étant justement la cynique baise,
Seuls, en leurs propres cœurs, le vagabond est saoul,
Sens de la proximité de l’astre,
L’être détourne l’œil de son cœur,
Ne sachant contrôler sa plus grande peur,
Laisser aller, ne plus craindre le désastre,
Comme l’avait dit un jour une douce islandaise,
Ce monde tout autour et même ses multiples vautours,
N’est rien d’autre que la somme de tout l’amour,
Une étincelle et de nouveau la genèse
La fin de cette bulle et de ses étroits pourtours,
Je respire, une bouffée de ce souffle doux,
Quelle satisfaction d’atteindre le bout,
Ne plus jamais vivre le cœur gourd.
Arthur Billette
Liberté, congé et bantidisme
Il y a 9 ans
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