vendredi 17 octobre 2008

Le sexe des étoiles: 1/10


Avez-vous besoin de vous souvenir à quel point le cinéma québécois des années 80 et début 90 était mauvais, vide de sens et artificiel? Si oui, tapez vous immédiatement Le sexe de étoiles, ça vous ramènera dans cette horrible époque où les films avait à peu près autant de naturel et de profondeur qu'un bon vieux Watatatow.

Au menu, une histoire de transexuel, d'acteurs figés dans la cire, de réflexions sur la jeunesse (à peu près aussi en lien avec la réalité qu'Astro le Robot) et un problème de famille poussé à un extrême de ridicule, au point que le fou-rire nous prend durant les moments les plus "dramatiques"...

Paule Baillargeon a réussit à nous prouver (hor de tout doute) qu'elle n'a absolument aucun talent comme réalistrice et que ça vaudrait mieux pour tout le monde (elle compris) qu'elle se contente d'emplois ne lui demandant pas de prendre le contrôle d'un caméra, de diriger des acteurs ou même de raconter une histoire. Chacun son rôle et elle a peut-être de multiples autres talents mais comme réalisatrice c'est un gros zéro! En conclusion, c'est un film très mauvais et à éviter comme la peste.

2 commentaires:

Unknown a dit…

lol... Mais qu'est-ce que c'est que cette couverture de film! Heu... C'etait quoi le concept? L'épilation au plaster ?

Arthur a dit…

Hum... Quelque chose comme ça, ou peut-être l'idée de la recherche de guérison au travers du changement de sexe, ou encore du besoin de guérison après le changement de sexe... Oh, et puis, je ne crois pas que ça vaille la peine d'y penser plus longtemps.

 
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